Nouvelle création de chansons poétiques // Slam // Nouvelle Création Printemps 2022

Nonchalante ou piquante, espiègle ou poignante, sensuelle, piquante, fragile ou puissante…
ROUGE FEU est femme, femmes…
ROUGE FEU, délicate comme l’art japonais du Kintsungi qui d’un trait d’or répare et embellie ce qui est cassé, fêlé dans les sons aériens et la douceur de la poésie …
ROUGE FEU, piquante, chatouille nos paradoxes et explose en bass éléctro.
ROUGE FEU, incandescente, s’oppose et taquine les sons acide et trapp.
ROUGE FEU, hypnotique, caresse nos quêtes d’idéaux…soulève les masques, impertinente …
ROUGE FEU, énergie vitale…

Une introspection poétique et hypnotique en quête de nouvelles textures. Musicalement, ROUGE FEU est une musique hors cases, hors cages qui crée des ponts et puisse ses influences tant chez les slameurs, rappeurs, chez des poètes comme Fantasio ou Loïc Lantoine, dans la pop de Billie Ellish, l’éléctro de Massive Attack, le rock slam de La Piéta et bien-sûr dans la liberté d’interprétation des grandes dames : Catherine Ringer, Brigitte Fontaine…

Spoken word // Slam
Emilie Sciot : Autrice, slameuse
Josepha Pelpel : Arrangements, compositions

“Aube d’un poème, lueurs des possibles…
Petite flamme, puissante femme…
Sentiers escarpés, chemins cabossés…”
Femme poème, lueurs des possibles, élan d’humanité!
Rouge Feu, c’est une gamine en exil, un chaperon rouge
qui dit basta, elle se fiche du bon chemin à suivre, des consignes de sécurité…

« ROUGE FEU, c’est l’écriture fine et percutante d’Emilie Sciot portée par la musique envoutante de Josepha.
Les mots nous captent et nous projettent vite et fort dans des visions imagées de vies contemporaines, nourries d’aspirations, d’émotions, de démons …Chaque morceau est un univers à lui seul et donne du sens, marqué par un certain phrasé, un certain rythme des mots scandés, des airs chantés, des sons électriques de la musique qui jouent à nous embarquer chaque fois dans un « film » particulier, un équilibre entre une certaine intensité, gravité, (ROUGE FEU ne slam pas pour ne rien dire) et une certaine légèreté, malice dans le jeu et le plaisir des mots, des sons, des images … » Fanny Goolearts, regard extérieur.

Émilie Sciot